Bonjour Erwin, bienvenue
Ta bio fait plutôt 2oo mots de trop mais comme j'ai pas été là un long moment, je me suis dit que j'allais lire quand même. Au bout de 8 lignes, je suis forcée et contrainte de rendre les armes : trop de fautes d'orthographe, de grammaire, de conjugaison. Non vraiment, c'est illisible pour l'allergique que je suis. Il est vrai que ni BonPatron ni OpenOffice ne détecte de faute, mais bon dieu, y'en a o_x
Je propose soit de réécrire la bio, soit de te faire aider, en tout cas de faire quelque chose parce qu'in game, ça passera pas o_x
À te lire,
Il est né dans une famille très aisée non loin d'une des villes les plus polluées, il était fils unique, sa vie fut remplie de solitude et de combats, je passerai donc le fait qu'il fut tout au long de son enfance et adolescence martyrisé par ses camarades. Qu'il AIT (!!!) défiguré sa mère et que son père l'ait exilé quatre ans plus tard à la capitale, pour me focaliser sur la quintessence de son histoire, ce qui le marqua et le changea à vie. (Cette phrase ne veut rien dire en passant : il n'y a que des propositions subordonnées, la proposition principale ayant disparu dans un interstice dimensionnel)
A sept ans, déjà, il se balladait dans les quartiers mal famés. Un jour il tomba sur des enfants vagabonds, il s'était pris (concordance des temps) très vite d'amitié avec les mioches errants (répétition) de la ville, il jouait avec eux et malgré leurs grossièretés, chose qu'il ne supportait pas, il s'attacha tout de même à eux. Quelques fois il volait de la nourriture à ses parents, pour ses amis, il le fit rarement car, malgré leur situation précaire (la précarité est un vocable qui existe et tu économises un mot comparé à ta périphrase) ils avaient leur fierté. Un des enfants lui demanda (concordance des temps) pour quelle raison (pas de virgule) il faisait tout cela, il répondit « pour faire parler les idiots ».
Je propose soit de réécrire la bio, soit de te faire aider, en tout cas de faire quelque chose parce qu'in game, ça passera pas o_x
À te lire,
- ~Libellule
9 mois plus tard, pas de nouvelles, je déplace.